L’ostéopathie pour le nourrisson

La pratique de l’ostéopathie mise en place avec le nourrisson est douce et indolore. Il s’agit de manipulations lentes permettant de libérer les éventuels points de tension.

Je ne laisse pas pleurer le bébé, nous trouvons toujours une solution pour que le séance se passe de façon paisible. Je prévois une heure mais sans contre-temps la séance peut durer seulement une demie heure.

Après l’accouchement

Que l’accouchement ait été rapide ou lent, avec forceps ou sans, il est toujours interessant d’effectuer une consultation bilan après l’accouchement.

Des blocages ou tensions passées inaperçues, peuvent créer des problématiques posturales et douleurs par la suite. L’ostéopathie permettra la mise en lumière de ces dysfonctions et leur libération.

En effet des contraintes intra-utérines ou lors de l’accouchement peuvent créer ce genre de problématiques.

En présence de trouble du sommeil

Si les nuits sont agitées, saccadées et ne permettent pas un bon repos ni à l’enfant ni aux parents, l’ostéopathie peut devenir une aide précieuse vers un apaisement de la situation.

Des conseils vous serons prodigués par votre ostéopathe pour aider à accompagner votre enfant vers des nuits calmes.

Chaque enfant est différent et son sommeil est unique, il y a toujours une cause à son trouble.

En cas de trouble digestif

Principaux motifs de consultation chez le nourrisson, les troubles digestifs sont à l’origine de pleurs, de perte de poids et de souffrance chez l’enfant.

Le nourrisson est souvent sujet au RGO (reflux gastro-oesophagien), au colique et à la constipation.

La résolution de ces problématiques se fait en coopération avec le pédiatre et l’éventuelle recherche de pathologie.

Il est important d’écarter une éventuelle intolérence au lait de vache, problématique  de plus en plus fréquente.

En cas de pleurs perpétuels

Les pleurs chez le nourrisson sont l’un de ses seuls moyens de communication, il est généralement à l’origine d’une demande de satisfaction d’un besoin.

Si tous les besoins du nourrissons ont été pris en charge et que les pleurs demeurent, des tensions physiques en sont peut-être la cause.

Plusieurs sons de cloches sont entendus, pour ma part je vous conseille de ne pas laisser pleurer votre enfant. Des études ont été menées prouvant que le fait de laisser pleurer augmentait le niveau de stress de l’enfant tandis que le réconfort augmentait les capacité d’empathie. De plus, sachez que les carpices n’existent pas avant 3 ans, il s’agit toujours d’un besoin exprimé.